poeme
Publié le 6 Juillet 2017
Je ne cesse de rêver à ne rien faire,
border d'illusion sur le grand confort
je ne cesse de rêver à ne rien faire,
porter d'illusion ,si grand et si fort
Les minutes défilent, il est bientot une heure;
Je sais bien qu'il me regarde depuis cette loge,
Les minutes s'écoulent, je n'ai pas vraiment peur;
Je ne cesse de voler du temps à cette horloge,
Je plonge dans cette vie qui m'emporte,
J' accepte volontiers l'échec ouvrant ma porte
Je me laisse envahir par cette avenir,
J'accepte volontiers entretenir le désir.
Quand les idées m'emportent, je fuis alors ce monde,
un flot de mots insensés apparait, ils me font voyager
dans un univers magique et idéaliste :
A l'abri de toutes ces horreurs
Je te regarde humer ces senteurs,
Ne t'ai pas dit tout à l'heure,
Tu es ma fleur, tu es mon cœur.